Le décor est un fil tendu vers l’horizon, quelques chansons flottant comme des âmes errantes (Fauré, Purcell, Berio) et un désir immense de jouer avec l’instant.
Veillant à capter la beauté fugace du moindre son, mais toujours prêts à larguer les amarres. En quête d’un folklore imaginaire (…)
Leïla Martial : voix, pédales d’effet
Valentin Ceccaldi : Violoncelle